Parce qu’en raison de la très faible capacité de dispersion des« moustiques tigres » (100 à 150 mètres au maximum), ce traite-ment est limité au lieu où séjourne (ou a séjourné) la personne suspectée d’être virémique au chikungunya ou à la dengue et à son voisinage de proximité. Le risque n’existe que là où peuvent être en contact une personne malade et le moustique vecteur, qui peut la piquer et ensuite transmettre la maladie en piquant une autre personne de son voisinage. Traiter massivement sur une vaste superficie n’aurait donc aucun sens ni d’efficacité particulière.